Centre socio-culturel

Démarche architecturale

Le bâtiment s’implante en « L » le long du parking et de la rue Thomas Mazarik. Cette inscription recentre l’équipement vers la cour et le jardin, dégage une belle respiration pour le parvis et crée un signal végétal visible depuis le carrefour. Le bâtiment marque une frontière physique avec le parking auquel il tourne le dos et protège la cour des co-visibilités depuis les immeubles.
La végétation devient plus dense au contact avec la voie de la Vallée de la Bièvre pour masquer l’accès technique au jardin et protéger des vues la cour de l’équipement.
À l’échelle de la ville, le projet fédère une porte d’entrée verte dans la continuité du cadre champêtre de la Vallée de la Bièvre. On approche du parvis à l’Est, en traversant un aménagement densément planté avec une végétation de sous-bois le long du bassin d’orage.
Au Nord, un rideau végétal forme un écran protecteur depuis la route et offre un fond de scène au jardin.
L’équipement présente un contraste fort entre la matérialité de la façade sur rue et celle sur le jardin afin de créer un refuge protecteur dans un écrin végétal, une parenthèse dans le quotidien des enfants.
> Sur rue l’enveloppe protectrice peu percée est en béton matricé ton brun,
> Sur jardin, la façade révèle une structure bois avec des ouvertures généreuses sur les espaces de jeux.